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Retentissement tendineux des activités sportives

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Retentissement tendineux des activités sportives

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L’Essentiel

Les lésions tendineuses sont nettement favorisées par l'activité physique. Plus de 20% des consultations de médecine du sport y sont consacrées.

Les tendinopathies sont provoquées par :
- la traction des muscles et / ou
- un conflit avec une structure articulaire

L'effet des vibrations et de la déshydratation reste discutée.
En l'absence de maladie métabolique, l'alimentation paraît sans influence.

Les "tendinites" de l'enfant n'existent pas. Ce sont des lésions osseuses.

L'activité physique participe au traitement des tendinopathies :
- la rééducation consiste en un "réentraînement tendineux"
- un "rééquilibrage musculaire" est souvent nécessaire.
- les activités physiques indolores sont autorisées et encouragées.

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Le sport a démontré son agressivité pour les tendons.

Une étude épidémiologique regroupant 7000 consultations de médecine du sport a été réalisée. Elle met en évidence que les tendinopathies sont les pathologies les plus fréquentes, juste derrière les entorses. Les lésions ligamentaires représentent 25 % des traumatismes et les souffrances tendineuses 22 %. Le tennis est la pratique sportive dans laquelle prédomine les tendinopathies. Le plus souvent, elles se localisent au niveau du coude ou de l'épaule. Dans cette discipline, elles représentent 56% des consultations. La course à pied se montre également très pourvoyeuse de tendinopathies. Cette fois, 38% des examens médicaux y sont consacrées.

Parmi les sédentaires, 2% des individus de 42 à 46 ans se plaignent d'une douleur tendineuse de l'épaule. Ils sont 22% entre 56 et 60 ans et 30 % au-delà de 65 ans. Selon les auteurs, 3 à 80% des nageurs souffrent de la coiffe des rotateurs. Mac Master a suivi des nageurs de compétition nord-américains (3). Il souligne que 35 % d'entre eux ont dû, au cours de leur carrière sportive, interrompre leur programme d'entraînement pour cause de douleur scapulaire. Peut-on alors se permettre de comparer l'épaule d'un nageur de 20 ans à celle d'un retraité ?

Pourquoi le sport provoque-t-il des lésions tendineuses ?

Les tractions musculaires sollicitent le tendon. Le travail de freinage dit "contraction excentrique" se révèle particulièrement agressif pour le tissu tendineux. En effet, à chaque réception de saut ou de foulée, le genou se plie légèrement pour amortir le mouvement et accumuler l'énergie élastique de relance. Dans ces circonstances, le quadriceps a pour mission de ralentir et contrôler le geste. Il se contracte alors que l'articulation se fléchie. Tout se passe comme si le muscle tirait dans un sens alors que les pièces osseuses se déplaçaient à l'opposé. Le tendon est particulièrement malmené. De nombreuses dilacérations fibreuses peuvent se produire. Il en est de même pour toutes les articulations et notamment au niveau du coude. Lors de la pratique du tennis, au cours du revers, les muscles de l'avant-bras tentent de stabiliser le poignet. Le tendon des épicondyliens est violemment mis à contribution. La souffrance de ce dernier porte le nom d'épicondylite ou "Tennis Elbow".

L'ischémie tendineuse inhérente à l'effort anaérobie contribue probablement à réduire l'aptitude du tendon à assumer ces contraintes mécaniques. Par ailleurs, les recherches menées par l'industrie de la chaussure de sport soulèvent l'influence des impacts au sol (1). Il semblerait qu'un amortissement insuffisant ou inadapté provoque des vibrations à hautes fréquences d'environ 20Hz. Ces dernières pourraient entrer en résonance avec les structures tendineuses, ligamentaires ou osseuses et provoquer une amplification responsable de lésions histologiques ou vasculaires.

Chez le sportif, notamment au niveau de l'épaule, les souffrances tendineuses sont favorisées par un conflit avec des structures articulaires. Selon Neer, le bord antéro-inférieur de l'acromion se montre particulièrement agressif pour la coiffe des rotateurs (4). Pour Jobe, ces frottements tendineux sont majorés en cas de laxité gléno-humérale (2). Cette hypermobilité étant parfois facilitée par une dégénérescence de la coiffe, un cercle vicieux ne tarde pas à s'installer. Ces microtraumatismes se répètent à l'occasion des gestes sportifs de grandes amplitudes comme le service au tennis ou le mouvement des bras en natation.

Chez l'enfant, au sein de la chaîne muscle / tendon / os, la zone d'insertion osseuse constitue le maillon faible. Ce dernier se révèle particulièrement sensible en période de croissance. L'excès de sollicitation mécanique provoque des ostéochondroses. La plus connue se situe sur la tubérosité tibiale antérieure, survient entre 12 et 15 ans et porte le nom de maladie d'Osgood Shlatter. La maladie de Sever équivaut à la tendinite d'achille et touche le calcanéum d'enfants âgés de 9 à 11ans.

Le dopage peut-il favoriser les tendinopathies ?

Bien évidemment, il n'existe pas d'étude incluant ouvertement des sportifs dopés. Néanmoins, le bon sens physiopathologique et quelques anecdotes de "terrain" suggèrent une réponse. A l'inverse des tendons, les muscles ont une activité métabolique intense. Les anabolisants stimulent considérablement la production de protéines contractiles et beaucoup moins la synthèse de fibres tendineuses. Ainsi, le dopage provoquerait un déséquilibre entre la masse musculaire et la structure tendineuse. Les contraintes mécaniques imposées au tendon seraient disproportionnées et sources de lésion. De plus, la fragilité tendineuse est sûrement accentuée en cas d'utilisation du cocktail "anabolisants / corticoïdes".

Quels sont les effets de l'hydratation et l'alimentation du sportif ?

Un apport en eau suffisant engendrant des urines toujours claires participe probablement à la prévention des tendinopathies. Une bonne hydratation des tendons améliorerait les qualités mécaniques de ces structures fibreuses et mal vascularisées. La goutte et l'hypercholestérolémie peuvent être à l'origine de souffrance tendineuse. Il est vivement conseillé de rechercher ces pathologies en cas de tendinopathie chez le sportif d'âge mûr. En revanche, en l'absence de maladie métabolique, l'alimentation n'a pas démontré son influence sur les lésions des tendons. L'acidité apportée par une portion de viande est 20 fois plus faible que celle provoquée par une séance d'entraînement très intense.

L'activité physique participe au traitement des tendinopathies

La musculation des abaisseurs huméraux, grand pectoral et grand dorsal participe au traitement des souffrances scapulaires. Le renforcement de ces muscles permet de réduire le conflit des tendons avec la voûte acromiale. Ce "rééquilibrage musculaire" de l'épaule s'associe à la correction du geste technique souvent imparfait en cas de lésions de la coiffe des rotateurs.

Stanish a démontré que les contractions excentriques et les étirements se révélaient particulièrement utiles dans la rééducation des tendinopathies chroniques (5). Il conclut même par un slogan provocateur : "no pain, no gain" ( Pas de douleur, pas de bénéfice ). En effet, le stretching et le travail de freinage musculaire mécanisent la structure tendineuse. Progressivement, elle s'adapte aux contraintes inhérentes à sa mission spécifiquement sportive. Il s'agit d'un véritable réentraînement tendineux. Cependant, en pratique, le kinésithérapeute doit éviter les douleurs comme l'entraîneur se garde bien de provoquer des courbatures à l'issue de chaque séance.

Plus que de nuire à la cicatrisation, la poursuite d'une activité physique sous le seuil douloureux contribue à la mécanisation tendineuse. S'il existe une gêne en début d'effort, elle doit s'estomper progressivement au cours de l'échauffement. Si elle réapparaît à froid, après l'entraînement, il faut que la séance suivante soit moins longue ou moins intense. En cas de souffrance persistante en course à pied, la pratique du vélo dépourvue de contraction excentrique est souvent possible et bénéfique !

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1 - Follachier M. Les 200 mots clés de la chausure de sport . Lyon. Ed CTC. 1991.

2 - Jobe et col : Schoulder pain in the overhand or throwing athlete : relationship of anterior stability and rotator cuff impingement. Orthop. Rev. 18 963, 1989.

3 - Mac Master et col : Shoulder torque changes in the swimming athlete. Am J. Sports Med. 20, 3 : 323-7, 1992.

4 - Neer C. S. : Impingement lesions. Clin Orthop. 173 : 70, 1983.

5 - Stanish et col : Eccentric exercise in chronics tendinitis. Clin. Orthop 208 : 265 - 8, 1986.

. - 16 février 2010.

Conflits d'intérêts : l'auteur ou les auteurs n'ont aucun conflits d'intérêts concernant les données diffusées dans cet article.

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L'iroman manque de fer, les autres sportifs aussi !

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Le fer est indispensable à votre santé et votre performance. Il constitue un élément central de l'hémoglobine. Cette dernière est contenue dans les globules rouges et lui donne sa couleur. C'est le fer qui capte l'oxygène lorsque le sang traverse les poumons. Il véhicule ce gaz précieux jusqu'aux muscles. Arrivé à destination, il largue sa cargaison qui permet alors la combustion des substances énergétiques et la contraction musculaire.

Quand vous courrez ou lorsque vous sautez, vos talons frappent le sol et le coussinet graisseux de votre plante du pied est écrasé. Il est traversé de nombreux vaisseaux sanguins. Les globules rouges présents éclatent et libèrent leurs hémoglobines. Le fer est libéré dans le sang et passe dans les urines.

Le muscle contient une sœur jumelle de l'hémoglobine, la myoglobine. Cette dernière, contient aussi beaucoup de fer qui fixe un peu d'oxygène. Cette petite réserve locale permet de débuter la contraction avant que les vaisseaux sanguins n'apportent le complément nécessaire. Quand vous ressentez des courbatures, vos membranes musculaires sont victimes de microdéchirures. La myoglobine et le fer quitte le muscle et gagne le sang. Le précieux métal est éliminé par voie urinaire.

Quand vous faites un effort, la majorité de flux sanguin s'oriente vers vos muscles. Il n'en reste que très peu pour le tube digestif et la paroi de la vessie. Ces organes souffrent du manque d'oxygénation et sont secoués à chaque foulée. De petites zones s'abîment et se mettent à saigner. Des globules rouges et du fer sont perdus dans les matières fécales et dans les urines.

Vous saisissez pourquoi les sportifs assidus manquent souvent de fer, surtout s'ils ne prennent pas soin de se concocter des « menus et recettes » adaptées. Les sportives sont encore plus concernées puisque à toutes ces pertes de fer s'ajoutent l'élimination massive de sang pendant les règles ! 

Voilà pourquoi, il est bon de réaliser occasionnellement une prise de sang pour évaluer le stock en fer de l'organisme. Ce prélèvement s'impose quand il s'agit de faire le point sur un état de fatigue. Il inutile de doser le fer circulant dans le sang car le corps parvient à le conserver dans les limites de la normale alors que les réserves sont au plus bas ! Il faut mesurer le taux de « ferritinémie » car cette structure constitue la forme de réserve du fer.

L'os se renforce ou fissure au contact du sport

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Chaque mouvement sportif constitue une sollicitation pour la structure osseuse. A chaque réception de foulée, le tibia du coureur de fond subit des impacts vibratoires. En déroulant le pas, le randonneur tord légèrement les petits os de son pied. Même le body-builders, en contractant puissamment ses muscles, tire sur son tissu osseux.

Chacun de ces microtraumatismes lèse un peu l’os du sportif. Heureusement, au cours de la période de repos, l’os tente de se reconstruire. S’il dispose du temps nécessaire, si on lui apporte les aliments indispensables, il se répare ! Il se reconstitue même plus fort qu’auparavant comme s’il voulait se préparer à de nouvelles agressions mécaniques. Ce phénomène est appelé par les entraîneurs le cycle de décompensation / surcompensation . Ce processus a été décrit au sein de nombreux organes et fonctions physiologiques : les muscles, le stock en énergie, les hormones, etc. Il est un moteur essentiel de progression.

Ainsi, il a été démontré que le marathonien bien entraîné avait des os plus solides qu’un sédentaire. En effet, sa structure osseuse plus dense, plus riche en fibres et en calcium. De plus, l’architecture microscopique de son os est parfaitement orientée dans l’axe des contraintes mécaniques.

En effet, la structure chimique de l’os est comparable a du béton armé. Le réseau de protéine représente les tiges en acier. Le calcium est comparable au béton qui englue ces axes métalliques. Au niveau de la hanche et du bassin la direction de la trame osseuse est tout à fait caractéristique. Sur une radiographie, on constate que les fibres partent du fémur, l’os de la cuisse, basculent vers l’intérieur, entrent de col du fémur pour résister au poids du corps posé sur les hanches. Les lignes de force en provenance de la jambe droite et de la jambe gauche se rejoignent au milieu du bassin et se soutiennent mutuellement à la manière de la nef d’une église.

L’activité physique associée à une alimentation suffisamment riche en protéines, en vitamine D et en calcium est un formidable moteur de la construction osseuse. Ce cocktail se montre particulièrement utile aux périodes charnière de la vie. Pendant la croissance, Il est nécessaire de manger 4 à 5 produits laitiers chaque jour pour édifier un os solide. Il faut également bouger : il est indispensable de pratiquer un sport imposant de la course et des sauts au moins 3 fois par semaines pendant 30 minutes. En l’absence d’impact, les os durcissent moins. Il a été démontré qu’un jeune nageur de compétition avait une densité osseuse plus faible qu’un sédentaire car il était privé de la gravitation pendant ces longues heures d’entraînement en piscine. De plus, la densification osseuse s’arrête à 25 ans. A cet âge vous avez constitué votre capital osseux pour la vie entière !

A l’âge adulte, le sport renforce très difficilement le tissu osseux et la quantité de calcium nécessaire à l’entretien de l’os est encore débattu. En cas de fracture, le repos de la zone brisée est nécessaire quelques semaines pour permettre d’ « engluer » la zone brisée. Au-delà, des sollicitations mécaniques progressivement croissantes se révèlent indispensables pour « mécaniser » le cal osseux. Là encore, elles permettent d’orienter la trame de l’os dans l’axe des contraintes afin de le préparer à sa mission. Une augmentation de l’apport en calcium en période de consolidation est proposée par certains médecins sans que son intérêt n'ait été vraiment démontré.

Après la ménopause, la trame osseuse se dégrade peu à peu jusqu’à rendre l’os fragile : c’est l’ostéoporose. Mesdemoiselles, souvenez-vous, votre résistance à la fracture du col du fémur dépend de votre alimentation et de votre pratique sportive avant 25 ans ! Si l’activité physique après la ménopause ne permet plus de densifier les os, elle réduit la perte de tissu osseux. Alors, il est conseillé de marcher voir de sautiller ou de trottiner. Il est bon aussi de faire de la gym douce pour entretenir la résistance des os à la traction. Afin de profiter au mieux de cette stimulation, il est à nouveau nécessaire de prendre 4 à 5 produits laitiers quotidiennement. Il faut également sortir tous les jours pour profiter du soleil et faire de la vitamine D indispensable à l’absorption et à la fixation du calcium. Les sports de coordination douce comme le Thaï Chi ou les « ateliers équilibre » ont prouvé leur efficacité pour diminuer le risque de chute et de fracture.

Si l’activité sportive est excessive, les microfissures provoquées par les impacts sur les os ne parviennent pas à consolider au cours du repos. Au contraire, ces lésions s’aggravent à l’entraînement suivant. Finalement l’os de fend de part en part, il se casse sans aucun traumatisme violent. C’est la fracture de fatigue. Chez une femme ménopausée, il a été mis en évidence que 6 heures de sport en charge par semaine pouvaient suffire pour briser insidieusement les os. Chez l’adulte plus jeune, ce type de blessure est favorisé par les carences alimentaires et les dérèglements hormonaux. Le manque de calcium, de vitamine D et de protéines altère la reconstruction de l’os victime de microfissures à l’exercice. Une insuffisance en hormones sexuelles diminue la stimulation des usines chimiques microscopiques chargées d’assurer la synthèse du tissu osseux. Ces altérations fonctionnelles se rencontrent en cas d’épuisement profond de l’organisme. Ce genre de surmenage est plus souvent diagnostiqué chez les femmes car il provoque des irrégularités du cycle menstruel puis une disparition des règles. La victime se retrouve en état de « ménopause précoce ». Chez l’homme cette souffrance hormonale est plus insidieuse mais elle existe et ses conséquences sur la densité osseuse sont comparables. Le cocktail surmenage sportif, carences alimentaires et disparition des règles se retrouve classiquement chez la jeune femme anorexique. Face à une fracture de fatigue, le médecin du sport se doit de rester vigilant. Il ne doit pas se contenter de soigner un « os ». Il a pour obligation de prendre en charge un individu dans sa globalité, il a pour mission de rechercher un surentraînement ou des troubles du comportement.



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